วันอังคารที่ 22 มกราคม พ.ศ. 2551

Le gouvernement japonais fait adopter en force la
nouvelle loi antiterroriste


LE MONDE 12.01.08 14h04 • Mis à jour le 12.01.08 14h04
TOKYO CORRESPONDANCE



Le gouvernement japonais a choisi de passer en force pour faire adopter la nouvelle loi antiterroriste. Ce texte prévoit la reprise du ravitaillement des navires de la coalition menée par les Américains dans l'océan Indien pour des opérations en Afghanistan. Son adoption en deuxième lecture par la Chambre basse, vendredi 11 janvier, est intervenue peu après son rejet par la Chambre haute, dominée par l'opposition depuis les élections de juillet 2007.

Le choix du premier ministre Yasuo Fukuda et de sa formation, le Parti libéral-démocrate (PLD), de passer outre la décision de la Chambre haute témoigne de l'importance de la question pour le chef du gouvernement. Depuis l'arrêt des ravitaillements, le 1er novembre, plusieurs pays, Etats-Unis en tête, pressaient le Japon de les reprendre.


Avant de devenir premier ministre en septembre, M. Fukuda a critiqué l'attaque américaine de l'Irak. Il tient cependant à ménager le premier allié de l'Archipel et s'est engagé, en novembre, auprès du président George Bush, à obtenir la reprise de la mission.


Le vote met également fin à plusieurs mois de querelles de politique intérieure. Dès la victoire de juillet, le Parti démocrate du Japon (PDJ) et son dirigeant, Ichiro Ozawa, se sont prononcés contre la prolongation de la loi antiterroriste, la jugeant inconstitutionnelle et prônant une intervention directe en Afghanistan sous la forme d'une aide à la reconstruction.


Le PDJ a empêché la prorogation du texte avant son échéance, le 1er novembre. Le gouvernement a dû prolonger deux fois la session parlementaire pour le faire adopter. Entre-temps, le premier ministre a proposé à M. Ozawa la création d'une coalition parlementaire réunissant majorité et opposition. Une controverse a éclaté sur les quantités exactes de carburant fournies et sur le fait que certains navires américains ravitaillés étaient engagés dans des opérations en Irak. La loi japonaise limite l'aide à ceux opérant sur le théâtre afghan.


La PDJ a tenté de jouer de ces arguments pour empêcher la prolongation. Profitant de sa dynamique de victoire et du faible taux de soutien du gouvernement, il souhaitait aussi obtenir des législatives anticipées. En vain. Ces efforts infructueux pourraient même hypothéquer son avenir. Le quotidien Asahi, pourtant proche du PDJ, estime, dans son édition du 11 janvier, que le parti traverse "une crise qui soulève des questions sérieuses sur sa capacité à gouverner".

รัฐบาลญี่ปุ่นใช้กฎหมายต่อต้านการก่อการร้าย

รัฐบาลญี่ปุ่นมีความเห็นชอบในการนำกฎหมายใหม่ด้านการต่อต้านการก่อการร้ายมาใช้ โดยคาดว่าจะมีการเตรียมการร่วมกันอีกครั้งกับสหรัฐอเมริกาด้านกองทัพและเรือเดินทะเลในมหาสมุทรอินเดีย และร่วมหารือในเรื่องเกี่ยวกับประเทศอัฟกานิสถาน โดยกฎหมายนี้ถูกใช้เป็นครั้งที่ 2 และเริ่มมีผลบังคับใช้เมื่อวันที่ 11 มกราคม
โดยหนทางของนายกรัฐมนตรีญี่ปุ่น นายยาสุโอะ ฟุคาดะ และพรรค PDL คือ การผ่านการตัดสินจากสภาสูงซึ่งจะมีหน้าที่ในการตั้งกระทู้สำคัญถามหัวหน้ารัฐบาล อย่างไรก็ตามขณะนี้ในหลายๆประเทศ โดยเฉพาะสหรัฐอเมริกาเร่งผลักดันให้กฎหมายฉบับนี้มีผลบังคับใช้โดยเร็ว ก่อนหน้านี้ในเดือนกันยายน นายฟุคาดะได้วิจารณ์การโจมตีอิรักของสหรัฐอเมริกาว่า เขาเคารพในสิทธิ์การจัดการการสู้รบครั้งนี้ของสหรัฐอเมริกา และประธานาธิบดีจอร์จ บุช ก็ได้ปฏิกิริยาตอบกลับมาในภารกิจนี้แล้ว
ในการลงมติภายในคณะรัฐบาลเมื่อหลายเดือนก่อน พรรค PDJ และผู้นำพรรคนายอิชิโร โอซาวา ได้แถลงการณ์ยืดเวลากฎหมายการต่อต้านการก่อการร้ายฉบับนี้ พร้อมทั้งยังมีการแทรกแซงและช่วยฟื้นฟูประเทศอัฟกานิสถานในการประชุมสภา 2 ครั้งเกี่ยวกับการใช้กฎหายฉบับนี้ ในครั้งแรกได้มีการคัดค้านกันอย่างหนัก ในกรณีที่จะให้มีการเพิ่มเรือเดินทะเลของสหรัฐอเมริกาในการรบกับอิรัก อย่างไรก็ตามกฎหมายฉบับนี้ก็มีข้อจำกัด เพราะกองกำลังส่วนหนึ่งต้องอยู่ในอัฟกานิสถาน สุดท้ายผลจากการโต้เถียงครั้งนี้ กระทบต่อเสียงสนับสนุนรัฐบาลที่อ่อนแอลง อีกทั้งการได้รับการทัดทานจากสภานิติบัญญัติว่าในอนาคตกฎหมายฉบับนี้อาจเปล่าประโยชน์ก็เป็นได้



วันอาทิตย์ที่ 20 มกราคม พ.ศ. 2551

BONJOUR!!!!!!!

BONJOUR!!!!!
Je m’apelle Salin .
Mon surnom est Mai . J’ai 18 ans .
Je suis une élève à l’école SATIT CMU .
Je suis en terminale . Je suis brune et grande .
J’aime écouter la musique et voir un film .


J’aime les animals aussi!!

L' amour

L’amour de chacun est différent

Certains aiment les parents, les frères ou les soeurs

Certains aiment les amis ou les amis de couer

Mais , c’est sûr que tout le monde a de l’amour

L’amour nous rend heureux, malheureux, triste

Il me fait sourire ou fait pleurer

L’amour est éternel et c’est difficile à l’oublier

Pourtant, chacun a besoin de l’amour

et l’amour est partout dans le monde

วันเสาร์ที่ 19 มกราคม พ.ศ. 2551

วันอังคารที่ 15 มกราคม พ.ศ. 2551

Place de la Bastille

Place de la Bastille
La place de la Bastille est une place de Paris, lieu symbolique de la Révolution française, où l'ancienne forteresse de la Bastille fut détruite, entre le 14 juillet 1789 et le 14 juillet 1790.
Histoire de la place
La Bastille
Une bastille, fortification placée sur les remparts de Paris, est construite de 1370 à 1383 sous Charles V. Transformée en prison par Richelieu, la Bastille est prise d'assaut le 14 juillet 1789 par la population de Saint Antoine puis est démolie.
Lieu de danse
Le 14 juillet 1790, une tente est plantée au milieu des ruines avec un écriteau « ici on danse », il s'agit du premier bal du 14 juillet qui demeurera une tradition jusqu'à nos jours. Cette tente est représentée sur une peinture à la gouache sur carton, pièce du musée Carnavalet, de Henri-Joseph Van Blarenberghe, ancien peintre militaire, qui a également peint des images de la prise de la bastille.
Dès le 16 juin 1792, il est décidé que l’emplacement de la Bastille formerait une place dite de la Liberté et qu’une colonne y serait élevée. Palloy fournit la première pierre, mais la construction en reste là. Une fontaine est installée en 1793.
Installation de la guillotine sur la place de la Bastille
Du 9 juin 1794 au 14 juin 1794, la guillotine fut installée sur la place dégagée des restes de la forteresse de la Bastille, appelée désormais place Antoine. Les citoyens réclamèrent son déplacement à la place du Trône-Renversé (actuelle place de la Nation).
Le nombre de personnes guillotinées sur la place de la Bastille est de 73.
L'éléphant de la Bastille
Napoléon, dans ses projets de réaménagement de Paris, projeta en 1808 d’y construire un monument en forme d’éléphant, pour en faite le pendant à l'Est de Paris de l'arc de Triomphe construit à l'Ouest. Il devait mesurer 24 m de haut et être fondu avec le bronze des canons pris aux Espagnols. On devait accéder au sommet par un escalier logé dans une patte. L'architecte Jean-Antoine Alavoine commença les travaux en 1833, mais seule une maquette en plâtre grandeur nature fut élevée. Le roman de Victor Hugo Les Misérables nous en conserve le souvenir, par l’abri qu’il fournit à Gavroche. Ce monument fut abattu en 1846, il ne reste que la base circulaire de la fontaine.
La colonne de Juillet
Louis-Philippe décida en 1833 de construire la Colonne de Juillet, déjà prévue en 1792, mais pour, cette fois, commémorer les Trois Glorieuses. Elle fut inaugurée en 1840.
Monuments et sites
la colonne de Juillet, construite entre 1833 et 1840, pour commémorer le renversement de la monarchie de Charles X les 27, 28 et 29 juillet 1830;
l'opéra Bastille, derrière lequel se situe l'hôpital des Quinze-Vingts ;
le port de l'Arsenal, où se jette le canal Saint-Martin ;
la station de métro Bastille (lignes 5,1,8), dans laquelle on peut voir des vestiges de fondations de l'ancienne prison.
sur la place de la Bastille, face à l'opéra, par rapport au canal Saint-Martin, on peut voir sur le sol, le périmètre de la forteresse, que l'on peut reconnaître par une triple rangée de pavés.
Voies partant de la place de la Bastille
Dans le sens des aiguilles d'une montre en commençant face à l'ange de la colonne :
la rue Saint-Antoine, se prolongeant par la rue de Rivoli qui passe par l'Hôtel de Ville et le Châtelet et mène à la Place de la Concorde ;
la rue de la Bastille ;
le boulevard Beaumarchais (menant à la place de la République) ;
le boulevard Richard-Lenoir prolongé par le boulevard Jules-Ferry, puis le quai de Valmy, continuant le canal Saint-Martin qui mène jusqu'à Stalingrad ;
la rue de la Roquette, passant par la place Léon-Blum (où se trouve la mairie du 11e arrondissement) et menant au Cimetière du Père-Lachaise ;
la rue du Faubourg-Saint-Antoine, menant à la place de la Nation ;
le passage du Cheval Blanc ;
la rue de Lyon, menant à la Gare de Lyon ;
le boulevard de la Bastille et le boulevard Bourdon, longeant tous deux le port de l'Arsenal jusqu'à la Seine ;
le boulevard Henri IV
Activités et manifestations
La place de la Bastille est le lieu régulier de différentes foires, concerts, et marchés.
Elle est très appréciée les vendredis et samedis soirs par la jeunesse de la banlieue parisienne pour ses nombreux cafés, restaurants, cinémas et boîtes de nuits.
La place de la Bastille est le point de départ, de passage ou d'arrivée de très nombreuses manifestations sociales, politiques ou syndicales. La symbolique est également reprise sur ce même lieu lors de la célébration des victoires socialistes aux principales élections. Ce fut par exemple le cas le 10 mai 1981, suite à l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République.
Chaque dimanche après-midi depuis 1998, si la météo le permet, une grande randonnée à roller, organisée par l'association Rollers et Coquillages, démarre à 14h30 des abords immédiats de la place, pour un trajet sécurisé d'une vingtaine de kilomètres dans les rues de Paris. Cette randonnée est devenue un rendez-vous incontournable des adeptes du roller venant du monde entier.

Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre

Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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Basilique du Sacré-Cœur
La basilique du Sacré-Cœur est un édifice religieux situé sur la butte Montmartre. 48°53′13″N 2°20′35″E / 48.88694, 2.34306
Origine de la construction


Basilique du Sacré-Cœur
La basilique du Sacré-Cœur, dite du "Vœu national", située au sommet de la butte Montmartre, surplombant la ville de Paris, est une basilique dont la construction fut décrétée par une loi votée par l'Assemblée nationale le 23 juillet 1873 après la défaite de 1871 pour « expier les crimes des communards », ainsi que pour rendre hommage à la mémoire des nombreux citoyens français qui ont perdu la vie durant la guerre franco-prussienne. C'est l'architecte Paul Abadie (mort en 1884) qui gagne le concours pour sa construction. La première pierre a été posée le 16 juin 1875, et l'église a été construite avec la participation directe du gouvernement de la Troisième République pour célébrer le départ d'un nouveau régime, dont les lois constitutionnelles ont été votées la même année. La Basilique a été majoritairement financée par de trés nombreux francais dans le cadre d'une une souscription nationale.
Toutefois elle n'a été achevée qu'en 1914 et consacrée qu'en 1919, après la fin de la Première Guerre mondiale.
Architecture [modifier]


Chœur et abside
Très controversé, ce monument est pourtant l'un des plus visités de Paris. La basilique est en forme de croix grecque, ornée de quatre coupoles ; son dôme central, haut de 80 m, est surmonté d'un lanterneau, formée d'une colonnade. Le style éclectique architectural de la basilique, s'inspirant de l'architecture romane, de l'architecture byzantine, et particulièrement de la cathédrale Saint-Front de Périgueux, a influencé plusieurs autres édifices religieux du XXe siècle (basilique Sainte-Thérèse de Lisieux par exemple).
À l'intérieur, le plafond de l'abside est décoré de la plus grande mosaïque du monde, couvrant une surface de 475 m². Conçue par Luc-Olivier Merson et exécutée de 1900 à 1922 par les ateliers Guilbert-Martin, elle représente le Sacré-Cœur de Jésus glorifié par l’église catholique et la France. À sa base on peut lire une phrase en latin signifiant : « Au Cœur très saint de Jésus, la France fervente, pénitente et reconnaissante. »
Une immense tour carrée servant de clocher renferme, entre autres cloches, la plus grosse cloche de France. Baptisée la Savoyarde, elle a été fondue à Annecy en 1895 par les frères Paccard. Elle mesure 3 mètres de diamètre et pèse 18 835 kg, quant à son support il pèse 7 380 kg. Le marteau qui la frappe pèse quant à lui 1 200 kg. Elle fut offerte à la basilique par les quatre diocèses de la Savoie, et arriva sur la butte le 16 octobre 1895, ce qui fut un événement parisien.
La crypte qui a la même disposition que l'église, est une des curiosités de la basilique.
On peut accéder à la basilique en empruntant le funiculaire de Montmartre.
Célébrations
Depuis plus d'un siècle, les fidèles y assurent jour et nuit le relais ininterrompu de l'adoration perpétuelle.
Depuis 1995, la congrégation des bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre assure, à la demande du cardinal Lustiger, archevêque de Paris, l'animation spirituelle et matérielle de la basilique.
Orgue
Les grandes orgues de la Basilique du Sacré-Cœur ont été construites, par le célèbre facteur d'orgue Aristide Cavaillé-Coll en 1898 pour le château du baron de L'Espée, grand amateur d'orgue. Cet orgue était alors l'un des fleurons de Cavaillé-Coll, puisque doté des meilleures technologies de l'époque (4 claviers manuels et pédalier, 78 jeux, traction mécanique des claviers et des jeux).
À la mort du baron, à la vente de sa demeure et après avoir passé plus de dix années dans les entrepôts Cavaillé-Coll-Mutin, l'orgue fut transféré à la basilique où il fut inauguré le 16 octobre 1919 par Charles-Marie Widor, Marcel Dupré et Abel Decaux.